sportsregions

1er challenge du jeune samouraï de la saison


Publiée le par jean pierre MARTY

1er challenge du jeune samouraï de la saison
1er challenge du jeune samouraï de la saison 2011/2012 Une centaine de participants se sont succédés sur le tatami du judo club pour ce premier challenge de la saison, les nouveaux toujours avec un peu d'appréhension, les plus anciens avec la détermination de ceux qui connaissent déjà la suite. Une centaine de spectateurs attentifs, des centaines de photos et de vidéos prises pour immortaliser ces moments de judo,(voir ci-dessous). Des judokas adultes pour encadrer, vraiment nombreux, merci à tous pour cet excellent après-midi. Notez sur votre agenda le prochain challenge qui aura lieu au mois de janvier, le 21 précisément, avec la traditionnelle galette des rois et la présence des baby's judo. Et aussi le calendrier du club vendu au prix attractif de 2 euros, disponible, nous l'espérons, courant décembre.
2011 11 26 1er Challenge samouraï par bojudo31 Pour une meilleure pratique de notre sport définition du randori Pour le définir, il est sans doute plus facile d’évoquer ce qu’il n’est pas : une confrontation dans laquelle l’enjeu mental est de "ne pas perdre" avec une très forte opposition à la garde et dans lequel on s’efforcerait de dominer physiquement l’adversaire, d’étouffer toute tentative de sa part. Le randori souple est un jeu d’opposition n’excluant en aucun cas l’intensité et l’engagement, mais qui ne se joue pas (ou très peu) à la garde, ni dans l’assujettissement physique du partenaire. Il s'agit plutôt de le surprendre et de le vaincre par la maîtrise des déplacements, des esquives, des rythmes, etc.. Oser "prendre le risque" de laisser le partenaire plus libre dans le randori, le "défier" (amicalement) en adresse et en technique a de considérables avantages : le premier d' entre eux est l’efficacité pour former des judokas de très bon niveau. Le randori n’est plus un bras-de-fer monotone il devient un espace d’élaboration et de progression particulièrement riche. Les déplacements sont plus nombreux et plus divers, les attaques peuvent être fréquentes, variées et subtiles, les esquives s' enchaînent, ce qui permet de développer considérablement le potentiel technique, l' adresse, la vitesse, et de trouver un relâchement musculaire sans lequel les mouvements sont contraints, sans précision ni puissance - à terme, le randori de pleine opposition ne se distingue du randori souple que dans l' engagement : il apparaît comme une permanente recherche de déséquilibres par confusions, enchaînements, changements de rythme dans un travail en déplacement constant plutôt que comme une confrontation statique, bloquée par l' opposition des forces musculaires et des corps en contraction. En plus de l’efficacité à moyen terme, ce mode de travail offre d’autres avantages d’importance. Rendre les jeunes élèves aptes à pratiquer et à profiter du randori souple, c’est les amener à prendre conscience et à mûrir en eux, par la pratique, certains fondamentaux du judo comme de l’existence : la présence positive de l’autre, son utilité, la nécessité de l’entraide, la puissance et la valeur des liens affectifs qu’il est possible de tisser avec ses partenaires. Le randori souple devient le moyen principal de développer sa maîtrise. De progrès en progrès, quel que soit son niveau, il est alors le vecteur de tout ce qui peut garantir une pratique prolongée, soutenue et de qualité : l’émulation et l’engagement, l’échange, la réussite, le plaisir. Ce climat de motivation conditionne les progrès du plus grand nombre et maintient dans l’activité une population qui s’en serait détournée. En outre, la possibilité de progrès étendus et prolongés longtemps après l’âge de l’apogée physique, offre à une population adulte de pratiquer sans lassitude, avec enthousiasme et plaisir. Différents niveaux d' âge et de maîtrise peuvent ainsi pratiquer ensemble sans risque traumatique, chacun pouvant apprendre des autres, approfondissant sa conception et sa maîtrise du judo sur un mode plus proche de la notion de rencontre et d' émulation positive que d' exclusion, de fermeture sur soi et d' irrespect. Le dernier outil de la méthodologie de l’Ecole Française de Judo-Jujitsu est le shiaï. Indépendamment du choix d’un engagement dans la compétition de haut-niveau, la pratique du combat arbitré dont l’enjeu est la " victoire " selon des règles précises, est une expérience indispensable à la progression de tous les judokas. Dans la recherche d’efficacité technique dans laquelle est engagé le pratiquant, elle est la garantie de sa confrontation avec le " réel «, représenté par l’extérieur, le partenaire-adversaire inconnu. Dans son exigence, elle est aussi la seule façon d’aborder certains aspects fondamentaux du combat, qu’ils soient physiques ou mentaux, techniques ou tactiques. Elle est un des vecteurs essentiels de la maturation globale du pratiquant. La compétition n’est pas une expérience indépendante de la pratique offerte dans les clubs ni n’en est l’aboutissement. Elle est l’un des outils essentiels de progression et le meilleur test d’efficacité. Source: FFJDA

Partager sur

commenter

Commentez la news

Envie de participer ?